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La veille de l’assemblée Le ajour précédant l’assemblée, l’effervescence gagna chaque recoin de la bâtisse. Des brassées de fleurs furent disposées dans le salon, tandis que le mobilier était réorganisé pour faciliter la relation des hôtes attendus. Plusieurs volontaires, déjà installés dans des gîtes voisins, offraient leur soutien pour finaliser les préparatifs. Certains organisaient le ravitaillement, prévoyant de excellents plats froids et des boissons naturelles ; d’autres dressaient des panneaux publiant les différentes zones de la demeure, pour prôner les participants vers les usine proposés. Dans l’allée principale, une pancarte fut placée, mentionnant le titre de « Porte Médiane » et figurant l’esprit de la rencontre : accord, lumière à l’autre, et mise en ouverture de l'habitude primitive. Au fil des jours, le bouche-à-oreille s’était étendu au-delà du cercle du début d’habitués, générant des gens curieuses d’approcher l’univers de la voyance gratute, tel qu’il semblait réchapper dans cette maison chargée d’histoire. Parmi elles, on comptait de jeunes amateurs de communications inexpliquées, mais encore des retraités ravis d'apprécier un lieu où l’échange se souhaitait flagrant et gracieux. Au rez-de-chaussée, Madeleine prenait réflexion de consulter une terminale fois les registres de Michel, désireuse de n’omettre aucune sorte de détail susceptible d’enrichir la programmation. Les annotations qu’elle y avait relevées suggéraient qu’autrefois, la demeure offrait durant des débat de voyance gratute et du temps d’enseignement sur la confection d’objets traditions. On y relatait en plus des veillées consacrées à le massage ou à la prière pour celles qui traversaient des tests douloureuses. 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